Il s'agit sûrement du module le plus offensif avec deux tactiques possibles.
La première consiste à placer trois attaquants flanqués de deux milieux disposés sur la droite et la gauche, avec un milieu central assez offensif chargé de distribuer le jeu.
La seconde est moins portée vers l'attaque avec deux milieux centraux relayeurs et deux milieux sur les côtés. De plus, pour assurer la continuité du jeu, le triangle en attaque est inversé de telle sorte que le 3-4-3 peut s'apparenter à un 4-4-2 ou un 4-2-3-2.
Les possibilités offertes par un 3-4-3 sont nombreuses en attaque mais le danger en défense est grand puisque seuls trois joueurs sont chargés d'affronter les attaquants et milieux offensifs adverses.
a) 3-4-3 en losange
Dans le premier cas, les milieux latéraux sont comme happés par le jeu offensif qu'ils sont chargés d'animer en offrant des solutions latérales. Leur rôle est cela dit important parce que la présence d'un grand nombre d'attaquants peut alourdir le jeu en le rendant statique ou trop central. L'attaquant de pointe est en effet plutôt d'un format "rôdeur" dans la surface et les deux autres attaquants sont attirés malgré eux vers le but. Ainsi, on peut obtenir trois joueurs qui attendent le ballon et ne créent pas de jeu. Par ailleurs, s'ils participent au jeu, cela signifie qu'ils se décalent sur les côtés, risquant de gêner les milieux latéraux, sauf si ceux-ci se recentrent. Bien entendu, il s'agit là d'un scénario sans fluidité du jeu et ni combinaison entre les joueurs.
b) 3-4-3 à plat
Dans le second cas, l'édifice parait bancal puisque les trois défenseurs ne peuvent pas avancer et communiquent surtout avec les deux milieux défensifs, à moins que les latéraux fournissent un immense effort pour systématiquement revenir vers la défense et remonter le ballon pour participer à l'attaque. Si cela est envisageable en début de partie, la fatigue ou parfois le score peuvent mettre à mal les velléités des latéraux. On aboutit alors à un jeu stéréotypé avec les MD qui fournissent le ballon aux latéraux qui eux servent les attaquants. Parmi les équipes qui ont opté pour ce module, on peut citer Naples ou Lille.
Dans le premier cas, les milieux latéraux sont comme happés par le jeu offensif qu'ils sont chargés d'animer en offrant des solutions latérales. Leur rôle est cela dit important parce que la présence d'un grand nombre d'attaquants peut alourdir le jeu en le rendant statique ou trop central. L'attaquant de pointe est en effet plutôt d'un format "rôdeur" dans la surface et les deux autres attaquants sont attirés malgré eux vers le but. Ainsi, on peut obtenir trois joueurs qui attendent le ballon et ne créent pas de jeu. Par ailleurs, s'ils participent au jeu, cela signifie qu'ils se décalent sur les côtés, risquant de gêner les milieux latéraux, sauf si ceux-ci se recentrent. Bien entendu, il s'agit là d'un scénario sans fluidité du jeu et ni combinaison entre les joueurs.
b) 3-4-3 à plat
Dans le second cas, l'édifice parait bancal puisque les trois défenseurs ne peuvent pas avancer et communiquent surtout avec les deux milieux défensifs, à moins que les latéraux fournissent un immense effort pour systématiquement revenir vers la défense et remonter le ballon pour participer à l'attaque. Si cela est envisageable en début de partie, la fatigue ou parfois le score peuvent mettre à mal les velléités des latéraux. On aboutit alors à un jeu stéréotypé avec les MD qui fournissent le ballon aux latéraux qui eux servent les attaquants. Parmi les équipes qui ont opté pour ce module, on peut citer Naples ou Lille.